gestion des risques
La gestion des risques vise à identifier les risques (ce qu’elle possède pour sa survie, ses moyens, ses biens, c’est-à-dire.) actifs de la société, ses valeurs au sens large, y compris, et peut-être même principalement, sur son du personnel. Il ya généralement deux catégories d’actifs: financiers et non financiers.
Les chefs d’entreprise ont pour mission de rendre leurs activités viables (charges équilibre avec les ressources) et même l’élargir (les ressources dépassent les coûts = production de richesse). Le résultat de leur permettre de survivre (sans résultat) ou même pour assurer la durabilité dans le développement de l'(positive).
Au-delà des risques financiers et les risques financiers de fractionnement / non-financiers, l’analyse approfondie des risques de l’entreprise exige une journée prolongée qui peut être assimilé à l’intelligence économique. Cette prévention des risques à des actifs conduit à établir une matrice des risques à chaque fois que des veillées ciblés pour chaque type de risque (politique, juridique, social, environnemental, etc) ..
Le phénomène de cause à effet est plus difficile d’analyser l’effet systémique qui peut maintenant soumettre la mondialisation financière et l’économie ouverte et mondialisée.
Le processus de gestion des risques
Pour lancer une action, d’identifier les signes avant-coureurs sur les dangers, il est une question d’information. Mais à la réflexion stratégique, la question ressemble beaucoup à celui de l’espèce de la responsabilité prises autour de l’information jugée pertinente. Il s’agit de la gestion intelligente de l’information, la gestion des connaissances afin (Jean-Yves Mercier, 2002)
Ainsi, si la création d’une cellule d’observatoire des risques est utile, il ne sera pas suffisante. Vous avez besoin de changer de réseau de connaissances disponibles. C’est ce qu’on appelle les zones de gestion dans lequel les éléments de réseau peuvent interagir. Ces espaces sont au nombre de cinq:
L’espace de réflexion et d’orientation est représentée par un observatoire des risques principaux de l’observatoire toute processus.Les est conçu comme un élément transversal en charge dans un premier temps à diagnostiquer les risques potentiels vu pour l’institution, puis de les organiser dans des familles nombreuses de préoccupation. Par exemple, l’Observatoire des risques de la Catalogne a choisi de concentrer ses travaux sur les risques de la circulation, du travail, de l’environnement, la santé publique, des perturbations sociales et celles liées à l’évolution du marché du travail (Albert Serra). Une fois les lignes directrices approuvées par la politique, le corps devient un observatoire pilote.
Autour de chaque ligne de travail, les équipes des données du recensement sont incorporés.Ces sont idéalement liée au service touchés par les risques qu’ils ont à détecter, comme la santé publique. Leur travail se fait étape par étape, une série de questions typiques de la gestion des connaissances (Probst Gilbert), ces équipes questions à approfondir par le diagnostic avec des spécialistes tels revolving autour de l’institution, par exemple, quels sont les signaux de nous informer de la progression des dommages psychosociaux entreprises? Comment faire pour déterminer quand les liens entre le travail et les troubles psychosomatiques ne sont pas claires? comment analyser la pertinence? comment évaluer le coût? A chaque étape, les résultats sont repliés en équipe, sous les auspices de l’Observatoire des risques pour promouvoir l’apprentissage mutuel autour de ces questions nouvelles.
Pendant ce temps, des groupes de projets et de thèmes transversaux entre les ministères sont créés pour organiser le traitement collectif des informations recueillies par ces équipes. Que outils statistiques sont nécessaires? Quel ordinateur instrument peut fournir un accès aux données et à les enrichir? Et la façon de structurer la base générale des connaissances? Les leçons, ce qui prouve que l’instrument est extrêmement ordinateur pour structurer l’échange de connaissances. Comme l’information est difficile à définir. L’idée ici est de construire un porte-outil, en fonction des situations rencontrées dans l’approfondissement des différents types de risque.
La question est donc de nourrir cette série qui s’institutionnalise progressivement. Donc, le rôle de facilitateurs des forums pour soutenir le risque que des renseignements individuels de tri par la structuration des espaces potentiels pour le dialogue, que ce soit via un intranet ou via des ateliers, par exemple. Comme nous l’avons créer ou de percevoir de nouveaux risques régulièrement (Michel Serres), l’objectif est d’identifier des récurrences de signaux n’est pas encore connue – est la dimension de la fréquence, comme dans le cas des risques psychosociaux – comme plus partie qui semblent toucher un sujet sur l’impact potentiel important – est le critère de gravité, comme dans le cas de l’ESB. Il n’est pas ici pour créer un filtre à l’information, mais de lui donner un canal qui enlève toute validité à la déresponsabilisation individuelle. Ces dirigeants du réseau sont répartis dans l’organisation autour des familles à risque identifiés par le Centre.
équipes thématiques, traitement des connaissances des groupes de projet, les hôtes des risques forums, ces outils ne fonctionnent ensemble, sous les auspices du Centre déjà mentionné. Mais encore une fois, ce n’est pas l’organisme responsable. Il s’agit simplement d’un animateur de réseau d’information. Il a également un rôle de centraliser les questions susceptibles de nécessiter un traitement du risque, et identifier le niveau de responsabilité approprié.Le problème avec les risques émergents est en fin de compte à créer des espaces de décision et de responsabilité collective (Anthony Giddens). Il est au centre d’offrir le meilleur constellations aux dirigeants de l’entreprise ou l’institution. Et c’est là la responsabilité réelle pour eux, pas en fait porter le poids de l’inconnu, mais structuré et doté d’un budget à une cellule d’une nouvelle gestion du risque, mais encore flou identifié.
Le risque des grandes entreprises dans les PME
Dans les grandes entreprises, il ya des équipes à la tête de qui mettent en œuvre un gestionnaire de risques ou de gestionnaire des risques. Il est donc destiné à gérer les risques de l’entreprise qui l’emploie.
Pour les PME, ‘Les entreprises de taille moyenne sont encore un peu préoccupé par la gestion des risques. Une étude menée par le cabinet d’audit Mazars, qui a interrogé environ 200 entreprises de chiffre d’affaires de 100 millions à plusieurs milliards d’euros les risques qui préoccupent le plus sont ceux qui peuvent conduire à une sanction du client, suivi par le risque technique ou opérationnel. Viennent ensuite les risques industriels, juridiques, fiscaux et informatiques. ‘(Les Echos 05.09.2007’ La gestion des risques peut également être installé dans les entreprises de taille moyenne).
Quelle que soit la taille de l’entreprise, chaque type de risque nécessite une réponse appropriée aux ressources humaines externe dédié et / ou internes. Nous avons vu avec l’ordinateur en passant 2000, il était nécessaire de créer des équipes dans les entreprises spécialisées dans la gestion des risques en termes de system.Today information de gestion, les questions de responsabilité sociale des entreprises exige, de la même manière, en tenant compte du risque global vis-à- vis de la société civile (impacts de l’activité, les risques liés à des produits défectueux, etc), la sous-traitance nécessite un traitement attentif des dirigeants.
La gestion continue de la grille susceptible d’assumer une vision d’entreprise et la vigilance de l’officier et ses conseils et de cadres pour la réhabilitation de la réalité du terrain et des systèmes réglementaires qui s’appliquent.
Stratégies de gestion des risques
Il n’a pas de stratégie, de démystifier le risque est un calcul de l’incertitude dans la plupart des cas, ce qui soulève la question de son mode de calcul. Nous avons commencé à parler de danger.
communication d’entreprise en matière de risques
Pour les sociétés cotées soumises à des obligations de divulgation financière plus lourde, les experts estiment que les autorités boursières sont arrivés à la présente communication est la «maturité».
Ce sujet est couvert systématiquement dans les documents de référence, témoin d’une gestion globale des risques en interne (Enterprise Risk Management).
Si la trame varie en fonction de la loi applicable à la société, les sociétés françaises cotées à Paris après la porte de l’AMF, qui définit cinq catégories:
Le degré d’information peut en aucun cas varient selon la catégorie de risque à l’étude, le profil sectoriel de l’entreprise, le caractère typique de ses activités, produits et services et de ses implantations géographiques.
Pour les sociétés non cotées, leur capacité financière sera souvent déterminé en fonction de leur profil de risque avec un cadre plus simple est assez similaire à celui des sociétés cotées.
Le processus de mise en œuvre de la gestion des risques d’entreprise
Ces processus peuvent être estimés et le transfert des risques afin d’atteindre les objectifs d’une organisation. Ainsi, «cette approche présente des opportunités qui peuvent exploiter les avantages concurrentiels potentiels.’ Si ce processus permet de déterminer les risques, ils sont également utiles pour les évaluer.
L’évaluation des risques
Principales étapes à suivre
La première étape de l’évaluation des risques, être l’identification de facteurs peuvent se familiariser avec les facteurs qui pourraient causer un problème pour la société. C’est dans ce stade que le gestionnaire doit collecter toutes les informations pertinentes.