Manager de rayon
Si le client est roi, le salarié est à la fois roi et vassal
La notion de client est omniprésente, dans les affaires, rien n’est plus important que le client. Les politiciens, même, sont tenus de l’adorer (à travers, notamment, l’indice de la consommation): c’est la croissance, la consommation dépend le sort de la nation. Il trouve sa force dans la compétition, elle a joué en sa faveur, il le sait, des avantages, ou maltraités: la concurrence est un progrès.
Le consommateur est à la recherche? Recevez tous les services à la fois, et gratuitement. Elle dicte ses conditions, impose des délais. L’entreprise doit «s’adapter»? Il ne.
Il peut changer de fournisseur s’il n’est pas satisfait. Il a également ne manque jamais de rappeler, ce qui lui permet, et je le vois tous les jours, de renégocier ses tarifs à la baisse. Il est difficile, mais c’est un plus funds.In marché, les fournisseurs vont même récompense de sa loyauté et de confiance par les remises de fin d’année, des points de fidélité, cadeaux … La puissance est augmentée par les enquêtes de satisfaction clients (qu’ils soient organisés par les instituts ou les entreprises elles-mêmes) et ils lui permettent d’étendre à toute gêne extrême, de donner libre cours à ses caprices.
Le client est au cœur de l’entreprise parce que le service à la clientèle, la satisfaction, sont l’objet même de la société au-delà de son objet. Le client est la condition sine qua non pour le maintien du chiffre d’affaires, en particulier dans sa croissance: ce chiffre d’affaires, nécessaires à l’existence de la société, quelque part son essence, à la fois sous la métaphore automobilistique et le sens philosophique.
Certaines entreprises ont même mis au point un arsenal de moyens à la clientèle Satisfaction de la clientèle orientée et qualifié, Customer Relationship Management. Ces approches vont jusqu’à définir le modèle de comportement à adopter par le salarié dans sa relation avec le client.
Mais c’est que parfois le client n’est-il pas devenir une excuse pour le gestionnaire d’imposer ses décisions, et il anticipe ou invente la réponse du client. Dans cette idée, le client serait un moyen d’obtenir des employés à l’entreprise …
Cette dernière affirmation est très controversée parmi les avocats de l’entreprise, du marché, le capitalisme et insatisfaits du système … Cependant, il reste vrai que dans notre monde concurrentiel, les attentes des clients, les exigences, ont tendance / insistant plus le fonctionnement interne de l’entreprise.
Cette nouvelle organisation permet à l’entreprise près de la supervision de nier toute responsabilité pour les conditions de travail des employés. Le gestionnaire est le client. Nous ne pouvons ni attendre, ni ne déçoit pas, et encore moins faire payer plus cher. Le salarié doit s’adapter à respecter les délais, preuve d’un «investissement personnel» (souvent traduit par un investissement en heures sans rémunération, si ce n’est parfois une prime spéciale et aléatoire) et augmenter la productivité: c’est pourquoi l’entreprise tout comme la raison de l’état.
D’autre part, le client ne se soucie guère des conséquences de son attitude (délocalisations, de moindre qualité …) et il semble avant que tous les prix et les délais, il a fait preuve d’une myopie de certains. Soit dit en passant, à l’occasion d’une refonte du code des marchés, l’administration était presque un être attirés vers un autre type de client: à l’époque, elle avait promis de ne plus systématiquement refuser le fournisseur le plus bas prix, que reste il aujourd’hui? Certains des «améliorations» peut être, mais le prix reste le critère avec le temps (j’ai personnellement vu plusieurs cas).
Pour couronner le tout, on parle même au sein de la société ‘client interne’ de service, sous leur propre but, doivent se comporter avec les autres services comme s’ils étaient face à un client, dans certains cas, le prestataire de services peut être en concurrence avec les fournisseurs externes , le but étant d’assurer le bon niveau des prix internes, nous avons mis en place des systèmes de facturation interne.
Je profite de ce passage à souligner que je ne conteste pas ici le bien-fondé de certains outils de gestion, je veux juste comprendre les concepts et les phénomènes sous-jacents, peut-être en fin de compte, je les défie, mais … dans un souci de rigueur, pas encore.
Dans cette notion de ‘client interne’, tirée en particulier par le TQM, nous avons atteint une certaine hauteur et, ensemble, une certaine hypocrisie quand il met en œuvre la satisfaction associé, comme si l’employé serait traité comme le client. Le point de départ d’une telle approche est louable: l’employé est un constituant majeur de la valeur ajoutée au client, la réalité est tout autre.
Souvent, quand vous parlez aux employés de la société, nous estimons que le doute vis-à-vis de ces satisfaction des approches, des clients internes … ils ne croient pas que la moitié, et pourtant …il ya mimétisme et est un bon levier de changement pour le gestionnaire.
Un client une fois que les actionnaires?
Avec une certaine ironie, on peut noter que la notion de ‘client interne’ est très proche de l’étymologie latine de cliens: l’employé est en fait un cliens en échange de sa servitude, il a obtenu son patronus …
Le client est roi! Par cette expression, la relation client-fournisseur a repris ses sens perdu de la servitude, mais pourquoi une telle servitude?
Il ya d’abord une petite partie de la force: une PME ne peut pas imposer quoi que ce soit sur un mastodonte du CAC 40, même si parfois la loi semble le protéger.
Les représentants de la société en contact avec le client a le pouvoir: pour remplacer les hiérarchies internes et d’imposer ce que le client a dit, pour ces représentants, il est préférable de préserver leur tranquillité d’esprit en ne s’opposant pas à pas le client (et donc, quand il s’agit au commerce, ils ont encore un chiffre d’affaires et également de préserver leurs commissions) sachant que l’entreprise mettra tout en œuvre pour répondre aux désirs du client.
Le client est roi, donc nous sommes tous roi.
Sur cette notion de royauté:Jean Baudrillard, dans Libération, cahier «emploi» du 21 Septembre 1998 est la contradiction insoluble où tout le monde aujourd’hui, non seulement dans sa vie privée, mais dans sa pratique sociale et professionnelle, est assigné à recevoir ou à rendre des services – chacun est plus ou moins le «client» d’un autre. Cela conduit nécessairement à une exploitation mutuelle où tout le monde est à la fois le roi et le vassal d’un autre. Ce double rôle se traduit par une presque clair dans les situations où l’employé opprimés, une fois dans le rôle du client, a laissé éclater sa colère contre son homologue, se venge.
‘Tout le monde, chaque minute, tuer le mandarin, et la société est une merveilleuse machine qui permet de bonnes personnes pour être cruel sans le savoir.’ (Alain, Propos sur le bonheur (1928)).
Grâce à cette analyse, nous constatons que les nouvelles de la notion de client a rejoint son étymologie latine, en particulier en ce qui concerne la question des difficultés que j’évoquais dans mon premier post sur l’étymologie du mot «client». Dans d’autres langues, ce qui signifie ne pas, par exemple:
– Anglais: «utilisateur» ou «client», le second terme est le plus utilisé par son étymologie, et insiste sur la notion de régularité, le plus souvent ( : du costume ancien français, suivant la définition peut sembler se référer à la même racine que notre mot ‘consommateur’ ?…)
– Allemand: «Kunde» se réfère à l’étymologie de ‘connu’ (source)
– Chinois: 客户 ke4hu4 le mot exprime l’idée de la maison d’hôtes, une boutique (http://www.zhongwen.com)
– Si vous connaissez d’autres langues et peut fournir des informations sur l’étymologie du mot, il est toujours gratifiant, surtout si elle apporte une dimension supplémentaire à la notion de client.
Cependant, quand on regarde le système des grands détaillants, les grandes chaînes: alors que le client paie, mais il est vraiment le roi? Il suffit de regarder les effets des techniques de marketing et de la manipulation (dont la puissance augmente progressivement à mesure que les progrès des sciences cognitives) à douter de la puissance réelle du client; ailleurs, on parle plus de consommation, la crèche plus suggestif terme (étymologie latine: consommation ‘ détruire, détruire »).
Soit dit en passant, ne considèrent qu’il n’y ait pas certains consommateurs que le comportement d’achat est compulsif, même pathologique.Comme tout comportement de ce type, cette dépendance ne peut jamais être satisfait, le patient veut toujours plus, toujours moins cher et toujours plus vite, si l’on considère ce phénomène comme un comportement général, peut-on considérer que la croissance constitue un progrès, n’est-ce pas plutôt le fébriles phase d’une dépendance?
A l’occasion de cette première approche de la notion de client, je ne tire aucune certitude, je permettraient d’identifier ces points dans la synthèse de nos réflexions:
– Dans quelle mesure la relation client-fournisseur est-ce une contrainte?
– La relation client-fournisseur implique fides, la fidélité.
– Pourquoi le moindre éternuement, le client at-il parfois une telle tempête dans l’entreprise?
– La notion de client, une excuse pour se dérober à ses responsabilités ou imposer ses vues.
– Le client, une justification pour l’imitation est à succomber, sans conscience particulière, le paradigme de plus en plus, toujours plus vite, toujours moins chers.
– Chaque individu, en tant que travailleurs et de consommateurs, est à la fois client et le fournisseur ou le roi et vassal.
– Le client but suprême de la société, implique que l’essence de la société a réduit le chiffre d’affaires tout seul?
– Myopie client face aux conséquences de son comportement.
Je suis conscient que certains articles ne sont plus la sociologie que la philosophie, mais je ne m’inquiète pas: je suis convaincu que ces croix sont les plus aptes à tirer une autre façon de voir, et qui sait, une nouvelle voie.
Je vais terminer ma note avec une brève réflexion: pourquoi la notion de client est si souvent invoquée fréquemment et évalués? Quel idéal ou d’une idéologie qui est chez elle, elle?
Face à un client, l’employé est sympathique et il ne contredit pas le client, il traite son client; invoquer le client, est une demande indirecte de l’affection, le respect?
Face à la clientèle, nous respectons ses engagements; cherchant à comprendre leurs besoins, pour répondre à …
Invoquant le client, ce n’est pas une recherche de valeurs perdues? Que font-ils?
La Chouette
La Chouette
Si le client est roi, le salarié est à la fois roi et vassal
La notion de client est omniprésente, dans les affaires, rien n’est plus important que le client. Les politiciens, même, sont tenus de l’adorer (à travers, notamment, l’indice de la consommation): c’est la croissance, la consommation dépend le sort de la nation.Il trouve sa force dans la compétition, elle a joué en sa faveur, il le sait, des avantages, ou maltraités: la concurrence est un progrès.
Le consommateur est à la recherche? Recevez tous les services à la fois, et gratuitement. Elle dicte ses conditions, impose des délais. L’entreprise doit «s’adapter»? Il ne.
Il peut changer de fournisseur s’il n’est pas satisfait. Il a également ne manque jamais de rappeler, ce qui lui permet, et je le vois tous les jours, de renégocier ses tarifs à la baisse. Il est difficile, mais c’est un fonds du marché. En outre, les fournisseurs, même récompense de sa loyauté et de confiance par les remises de fin d’année, des points de fidélité, cadeaux … La puissance est augmentée par les enquêtes de satisfaction clients (qu’ils soient organisés par les instituts ou les entreprises elles-mêmes) et ils lui permettent d’étendre à toute gêne extrême, de donner libre cours à ses caprices.
Le client est au cœur de l’entreprise parce que le service à la clientèle, la satisfaction, sont l’objet même de la société au-delà de son objet. Le client est la condition sine qua non pour le maintien du chiffre d’affaires, en particulier dans sa croissance: ce chiffre d’affaires, nécessaires à l’existence de la société, quelque part son essence, à la fois sous la métaphore automobilistique et le sens philosophique.
Certaines entreprises ont même mis au point un arsenal de moyens à la clientèle Satisfaction de la clientèle orientée et qualifié, Customer Relationship Management. Ces approches vont jusqu’à définir le modèle de comportement à adopter par le salarié dans sa relation avec le client.
Mais c’est que parfois le client n’est-il pas devenir une excuse pour le gestionnaire d’imposer ses décisions, et il anticipe ou invente la réponse du client. Dans cette idée, le client serait un moyen d’obtenir des employés à l’entreprise …
Cette dernière affirmation est très controversée parmi les avocats de l’entreprise, du marché, le capitalisme et insatisfaits du système … Cependant, il reste vrai que dans notre monde concurrentiel, les attentes des clients, les exigences, ont tendance / insistant plus le fonctionnement interne de l’entreprise.
Cette nouvelle organisation permet à l’entreprise près de la supervision de nier toute responsabilité pour les conditions de travail des employés. Le gestionnaire est le client. Nous ne pouvons ni attendre, ni ne déçoit pas, et encore moins ne la paye des employés plus.Le doit s’adapter pour respecter les délais, preuve d’un «investissement personnel» (souvent traduit par un investissement en heures sans rémunération, si ce n’est parfois une prime spéciale et aléatoire) et d’augmenter la productivité:c C’est la raison pour la société ainsi que la raison de l’état.
D’autre part, le client ne se soucie guère des conséquences de son attitude (délocalisations, de moindre qualité …) et il semble avant que tous les prix et les délais, il a fait preuve d’une myopie de certains. Soit dit en passant, à l’occasion d’une refonte du code des marchés, l’administration était presque un être attirés vers un autre type de client: à l’époque, elle avait promis de ne plus systématiquement refuser le fournisseur le plus bas prix, que reste il aujourd’hui? Certains des «améliorations» peut être, mais le prix reste le critère avec le temps (j’ai personnellement vu plusieurs cas).
Pour couronner le tout, on parle même en compagnie de ‘client interne’: services, sous leur propre but, doivent se comporter avec les autres services comme s’ils étaient face à un client et, dans certains cas, le prestataire de services peut être en concurrence avec les fournisseurs extérieurs, l’objectif étant d’assurer le bon niveau des prix intérieurs; nous avons mis en place des systèmes de facturation interne.
Je profite de ce passage à souligner que je ne conteste pas ici le bien-fondé de certains outils de gestion, je veux juste comprendre les concepts et les phénomènes sous-jacents, peut-être en fin de compte, je les défie, mais … dans un souci de rigueur, pas encore.
Dans cette notion de ‘client interne’, tirée en particulier par le TQM, nous avons atteint une certaine hauteur et, ensemble, une certaine hypocrisie quand il met en œuvre la satisfaction associé, comme si l’employé serait traité comme le client. Le point de départ d’une telle approche est louable: l’employé est un constituant majeur de la valeur ajoutée au client, la réalité est tout autre.
Souvent, quand vous parlez aux employés de la société, nous estimons que le doute vis-à-vis de ces satisfaction des approches, des clients internes … ils ne croient pas que la moitié, et pourtant … il ya mimétisme et est un bon levier de changement pour le gestionnaire.
Un client une fois que les actionnaires?
Avec une certaine ironie, on peut noter que la notion de ‘client interne’ est très proche de l’étymologie latine de cliens: l’employé est en fait un cliens en échange de sa servitude, il a obtenu son patronus …
Le client est roi!Par cette expression, la relation client-fournisseur a repris ses sens perdu de la servitude, mais pourquoi une telle servitude?
Il ya d’abord une petite partie de la force: une PME ne peut pas imposer quoi que ce soit sur un mastodonte du CAC 40, même si parfois la loi semble le protéger.
Les représentants de la société en contact avec le client a le pouvoir: pour remplacer les hiérarchies internes et d’imposer ce que le client a dit, pour ces représentants, il est préférable de préserver leur tranquillité d’esprit en ne s’opposant pas au client (et donc, quand il s’agit au commerce, ils ont encore un chiffre d’affaires et également de préserver leurs commissions) sachant que l’entreprise mettra tout en œuvre pour répondre aux désirs du client.
Le client est roi, donc nous sommes tous roi.
Sur cette notion de royauté: Jean Baudrillard, dans Libération, cahier «emploi» du 21 Septembre 1998 est la contradiction insoluble où tout le monde aujourd’hui, non seulement dans sa vie privée, mais dans sa pratique sociale et professionnelle, est assigné à recevoir ou à rendent des services – chacun est plus ou moins le «client» d’un autre. Cela conduit nécessairement à une exploitation mutuelle où tout le monde est à la fois le roi et le vassal d’un autre.Ce double rôle se traduit par une quasi-évidente dans les situations où l’employé opprimés, une fois dans le rôle du client, a laissé éclater sa colère contre son homologue, se venge.
‘Tout le monde, chaque minute, tuer le mandarin, et la société est une merveilleuse machine qui permet de bonnes personnes pour être cruel sans le savoir.’ (Alain, Propos sur le bonheur (1928)).
Grâce à cette analyse, nous constatons que les nouvelles de la notion de client a rejoint son étymologie latine, en particulier en ce qui concerne la question des difficultés que j’évoquais dans mon premier post sur l’étymologie du mot «client». Dans d’autres langues, ce qui signifie ne pas, par exemple:
– Anglais: «utilisateur» ou «client», le second terme est le plus utilisé par son étymologie, et insiste sur la notion de régularité, le plus souvent ( https://www.etymonline.com/ : de l’Ancien costume français, suite à la définition peut sembler se référer à la même racine que notre mot ‘consommateur’ ?…)
– Allemand: «Kunde» se réfère à l’étymologie de ‘connu’ (source)
– Chinois: 客户 ke4hu4 le mot exprime l’idée de la maison d’hôtes, une boutique (http://www.zhongwen.com)
– Si vous connaissez d’autres langues et peut fournir des informations sur l’étymologie du mot, il est toujours gratifiant, surtout si elle apporte une dimension supplémentaire à la notion de client.
Cependant, quand on regarde le système des grands détaillants, les grandes chaînes: alors que le client paie, mais il est vraiment le roi? Il suffit de regarder les effets des techniques de marketing et de la manipulation (dont la puissance augmente progressivement à mesure que les progrès des sciences cognitives) à douter de la puissance réelle du client, et en effet on parle plus de consommation, un terme faisant référence à plus d’alimentation (étymologie latine: consommation «détruire, détruire»).
Soit dit en passant, ne considèrent qu’il n’y ait pas certains consommateurs que le comportement d’achat est compulsif, même pathologique. Comme tout comportement de ce type, cette dépendance ne peut jamais être satisfait, le patient veut toujours plus, toujours moins cher et toujours plus vite, si l’on considère ce phénomène comme un comportement général, peut-on considérer que la croissance constitue un progrès, ce n’est pas plutôt le fébriles phase d’une dépendance?
A l’occasion de cette première approche de la notion de client, je ne tire aucune certitude, je permettraient d’identifier ces points dans la synthèse de nos réflexions:
– Dans quelle mesure la relation client-fournisseur est-ce une contrainte?
– La relation client-fournisseur implique fides, la fidélité.
– Pourquoi le moindre éternuement, le client at-il parfois une telle tempête dans l’entreprise?
– La notion de client, une excuse pour se dérober à ses responsabilités ou imposer ses vues.
– Le client, une justification pour l’imitation est à succomber, sans conscience particulière, le paradigme de plus en plus, toujours plus vite, toujours moins chers.
– Chaque individu, en tant que travailleurs et de consommateurs, est à la fois client et le fournisseur ou le roi et vassal.
– Le client but suprême de la société, implique que l’essence de la société a réduit le chiffre d’affaires tout seul?
– Myopie client face aux conséquences de son comportement.
Je suis conscient que certains articles ne sont plus la sociologie que la philosophie, mais je ne m’inquiète pas: je suis convaincu que ces croix sont les plus aptes à tirer une autre façon de voir, et qui sait, une nouvelle voie.
Je vais terminer ma note avec une brève réflexion: pourquoi la notion de client est si souvent invoquée fréquemment et évalués? Quel idéal ou d’une idéologie qui est chez elle, elle?
Face à un client, l’employé est sympathique et il ne contredit pas le client, il traite son client d’invoquer un client, est une demande indirecte de l’affection, le respect?
Face à la clientèle, nous respectons ses engagements; cherchant à comprendre leurs besoins, pour répondre à …
Invoquant le client, ce n’est pas une recherche de valeurs perdues? Que font-ils?
La Chouette
La Chouette
Si le client est roi, le salarié est à la fois roi et vassal
La notion de client est omniprésente, dans les affaires, rien n’est plus important que le client.Politicians, même, sont tenus de l’adorer (à travers, notamment, l’indice de la consommation): c’est la croissance, la consommation dépend du sort de la nation. Il trouve sa force dans la compétition, elle a joué en sa faveur, il le sait, des avantages, ou maltraités: la concurrence est un progrès.
Le consommateur est à la recherche? Recevez tous les services à la fois, et gratuitement. Elle dicte ses conditions, impose des délais. L’entreprise doit «s’adapter»? Il ne.
Il peut changer de fournisseur s’il n’est pas satisfait. Il a également ne manque jamais de rappeler, ce qui lui permet, et je le vois tous les jours, de renégocier ses tarifs à la baisse.Il est difficile, mais c’est un fonds du marché. En outre, les fournisseurs, même récompense de sa loyauté et de confiance par les remises de fin d’année, des points de fidélité, cadeaux … La puissance est augmentée par les enquêtes de satisfaction clients (qu’ils soient organisés par les instituts ou les entreprises elles-mêmes), ils lui permettent de développer toute gêne extrême, de donner libre cours à ses caprices.
Le client est au cœur de l’entreprise parce que le service à la clientèle, la satisfaction, sont l’objet même de la société au-delà de son objet. Le client est la condition sine qua non pour le maintien du chiffre d’affaires, en particulier dans sa croissance: ce chiffre d’affaires, nécessaires à l’existence de la société, quelque part son essence, à la fois sous la métaphore automobilistique et le sens philosophique.
Certaines entreprises ont même mis au point un arsenal de moyens à la clientèle Satisfaction de la clientèle orientée et qualifié, Customer Relationship Management. Ces approches vont jusqu’à définir le modèle de comportement à adopter par le salarié dans sa relation avec le client.
Mais c’est que parfois le client n’est-il pas devenir une excuse pour le gestionnaire d’imposer ses décisions, et il anticipe ou invente la réponse du client. Dans cette idée, le client serait un moyen d’obtenir des employés à l’entreprise …
Cette dernière affirmation est très controversée parmi les avocats de l’entreprise, du marché, le capitalisme et insatisfaits du système … Cependant, il reste vrai que dans notre monde concurrentiel, les attentes des clients, les exigences, ont tendance / insistant plus le fonctionnement interne de l’entreprise.
Cette nouvelle organisation permet à l’entreprise près de la supervision de nier toute responsabilité pour les conditions de travail des employés. Le gestionnaire est le client. Nous ne pouvons ni attendre, ni ne déçoit pas, et encore moins faire payer plus cher. Le salarié doit s’adapter à respecter les délais, preuve d’un «investissement personnel» (souvent traduit par un investissement en heures sans rémunération, si ce n’est parfois une prime spéciale et aléatoire) et augmenter la productivité: c C’est la raison pour la société ainsi que la raison pour l’État.
D’autre part, le client ne se soucie guère des conséquences de son attitude (délocalisations, de moindre qualité …) et il semble avant que tous les prix et les délais, il montre une myopie de certains. Soit dit en passant, à l’occasion d’une refonte du code des marchés, l’administration était presque un être attirés vers un autre type de client: à l’époque, elle avait promis de ne plus systématiquement refuser le fournisseur le plus bas prix, que reste il aujourd’hui?Certains des «améliorations» peut être, mais le prix reste le critère avec le temps (j’ai personnellement vu plusieurs cas).
Pour couronner le tout, on parle même au sein de la société ‘client interne’ de service, sous leur propre but, doivent se comporter avec les autres services comme s’ils étaient face à un client, dans certains cas, le prestataire de services peut être en concurrence avec les fournisseurs externes , le but étant d’assurer le bon niveau des prix internes, nous avons mis en place des systèmes de facturation interne.
Je profite de ce passage à souligner que je ne conteste pas ici le bien-fondé de certains outils de gestion, je veux juste comprendre les concepts et les phénomènes sous-jacents; peut-être en fin de compte, je les défie … mais, par souci de rigueur, pas encore.
Dans cette notion de ‘client interne’, tirée en particulier par le TQM, nous avons atteint une certaine hauteur et, ensemble, une certaine hypocrisie quand il met en œuvre la satisfaction associé, comme si l’employé serait traité comme le client. Le point de départ d’une telle approche est louable: l’employé est un constituant majeur de la valeur ajoutée au client, la réalité est tout autre.
Souvent, quand vous parlez aux employés de la société, nous estimons que le doute vis-à-vis de ces satisfaction des approches, des clients internes … ils ne croient pas que la moitié, et pourtant … il ya mimétisme et est un bon levier de changement pour le gestionnaire.
Un client une fois que les actionnaires?
Avec une certaine ironie, on peut noter que la notion de ‘client interne’ est très proche de l’étymologie latine de cliens: l’employé est en fait un cliens en échange de sa servitude, il a obtenu son patronus …
Le client est roi! Grâce à cette expression, la relation client-fournisseur a repris ses sens perdu de la servitude, mais pourquoi une telle servitude?
Il ya d’abord une petite partie de la force: une PME ne peut pas imposer quoi que ce soit sur un mastodonte du CAC 40, même si parfois la loi semble le protéger.
Les représentants de la société en contact avec le client a le pouvoir: pour remplacer les hiérarchies internes et d’imposer ce que le client a dit, pour ces représentants, il est préférable de préserver leur tranquillité d’esprit en ne s’opposant pas à pas le client (et donc, quand il s’agit au commerce, ils ont encore un chiffre d’affaires et également de préserver leurs commissions) sachant que l’entreprise mettra tout en œuvre pour répondre aux désirs du client.
Le client est roi, donc nous sommes tous roi.
Sur cette notion de royauté: Jean Baudrillard, dans Libération, cahier «emploi» du 21 Septembre 1998 est la contradiction insoluble où tout le monde aujourd’hui, non seulement dans sa vie privée, mais dans sa pratique sociale et professionnelle, est désigné pour recevoir ou de rendre services – chacun est plus ou moins le «client» d’un autre. Cela conduit nécessairement à une exploitation mutuelle où tout le monde est à la fois le roi et le vassal d’un autre. Ce double rôle se traduit par une presque clair dans les situations où l’employé opprimés, une fois dans le rôle du client, a laissé éclater sa colère contre son homologue, se venge.
‘Tout le monde, chaque minute, tuer le mandarin, et la société est une merveilleuse machine qui permet de bonnes personnes pour être cruel sans le savoir.’ (Alain, Propos sur le bonheur (1928)).
Grâce à cette analyse, nous constatons que les nouvelles de la notion de client a rejoint son étymologie latine, en particulier en ce qui concerne la question des difficultés que j’évoquais dans mon premier post sur l’étymologie du mot «client». Dans d’autres langues, ce qui signifie ne pas, par exemple:
– Anglais:«Utilisateur» ou «client», le second terme est le plus utilisé par son étymologie, et insiste sur la notion de régularité, le plus souvent (http://www.etymonline.com/ : de l’Ancien costume français, suivant la définition peut paraître de se référer à la même racine que notre mot ‘consommateur’ ?…)
– Allemand: «Kunde» se réfère à l’étymologie de ‘connu’ (source)
– Chinois: 客户 ke4hu4 le mot exprime l’idée de la maison d’hôtes, une boutique (http://www.zhongwen.com)
– Si vous connaissez d’autres langues et peut fournir des informations sur l’étymologie du mot, il est toujours gratifiant, surtout si elle apporte une dimension supplémentaire à la notion de client.
Cependant, quand on regarde le système des grands détaillants, les grandes chaînes: alors que le client paie, mais il est vraiment le roi? Il suffit de regarder les effets des techniques de marketing et de la manipulation (dont la puissance augmente progressivement à mesure que les progrès des sciences cognitives) à douter de la puissance réelle du client; ailleurs, on parle plus de consommation, la crèche plus suggestif terme (étymologie latine: consommation ‘ détruire, détruire »).
Soit dit en passant, ne considèrent qu’il n’y ait pas certains consommateurs que le comportement d’achat est compulsif, même pathologique. Comme tout comportement de ce type, cette dépendance ne peut jamais être satisfait, le patient veut toujours plus, toujours moins cher et toujours plus vite, si l’on considère ce phénomène comme un comportement général, peut-on considérer que la croissance constitue un progrès, n’est-ce pas plutôt le fébriles phase d’une dépendance?
A l’occasion de cette première approche de la notion de client, je ne tire aucune certitude, je permettraient d’identifier ces points dans la synthèse de nos réflexions:
– Dans quelle mesure la relation client-fournisseur est-ce une contrainte?
– La relation client-fournisseur implique fides, la fidélité.
– Pourquoi le moindre éternuement, le client at-il parfois une telle tempête dans l’entreprise?
– La notion de client, une excuse pour se dérober à ses responsabilités ou imposer ses vues.
– Le client, une justification pour l’imitation est à succomber, sans conscience particulière, le paradigme de plus en plus, toujours plus vite, toujours moins chers.
– Chaque individu, en tant que travailleurs et de consommateurs, est à la fois client et le fournisseur ou le roi et vassal.
– Le client but suprême de la société, implique que l’essence de la société a réduit le chiffre d’affaires tout seul?
– Myopie client face aux conséquences de son comportement.
Je suis conscient que certains articles ne sont plus la sociologie que la philosophie, mais je ne m’inquiète pas: je suis convaincu que ces croix sont les plus aptes à tirer une autre façon de voir, et qui sait, une nouvelle voie.
Je vais terminer ma note avec une brève réflexion: pourquoi la notion de client est si souvent invoquée fréquemment et évalués? Quel idéal ou d’une idéologie qui est chez elle, elle?
Face à un client, l’employé est sympathique et il ne contredit pas le client, il traite son client; invoquer le client, est une demande indirecte de l’affection, le respect?
Face à la clientèle, nous respectons ses engagements; cherchant à comprendre leurs besoins, pour répondre à …
Invoquant le client, ce n’est pas une recherche de valeurs perdues? Que font-ils?
La Chouette
La Chouette
Personnalités
En 2005, Jean-Luc Springer a été nommé meilleur cuisinier de l’année le magazine LSA Ray. Son expertise dans le domaine de la performance et en circulation ultra cool lui a valu ce prix. Gerard Mullen a dit de lui:’Il est, il a été et sera le meilleur gestionnaire de service de la France.’
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